1. n-m. Petite pièce de diverses matières, ordinairement ronde ou plate, quelquefois bombée ou en boule, qui sert généralement à retenir ensemble différentes parties d'un vêtement et que l'on passe, à cet effet, dans les fentes appelées boutonnières, dans l
Bouton de métal, de diamant, de nacre. Bouton uni, façonné.
Habit garni de boutons. Attacher, coudre des boutons. Mettre des boutons à un manteau.
Une garniture de boutons.Bouton de culotte, de gilet, de chemise. Des boutons de manchette.
2. n-m. (Botanique) Petit corps arrondi ou allongé qui poussent sur les arbres et les arbustes et d'où naissent les branches, les feuilles ou les fleurs.
Bouton à bois. Boutons à feuilles. Bouton à fruit.
Il y a beaucoup de boutons à cet arbre.
3. n-m. (En particulier) (Botanique) Fleur qui n'est pas encore épanouie.
Un bouton de rose. Une fleur en bouton.
4. n-m. (Par extension) (Architecture) Ornement décoratif sculpté figurant une fleur qui n'est pas éclose.
5. n-m. (Par analogie) Petites tumeurs arrondies qui se forment sur la peau, soit au visage, soit en diverses parties du corps.
6. n-m. Insignes qui est une marque de la profession qu'on exerce ou de la dignité dont on est revêtu.
Bouton de livrée, de mandarin.
7. n-m. (Escrime) Petite pièce de métal qui garnit l'extrémité d'un fleuret pour le rendre inoffensif.
8. n-m. Partie saillante et arrondie à l'aide de laquelle on pousse et on tire le pêne d'une serrure ou un verrou.
Le bouton d'une serrure, d'un verrou. Le bouton d'un tiroir, d'un couvercle. Le bouton d'une porte.
9. n-m. Pièce de fer ou de cuivre, qui est ordinairement de forme ronde ou ovale et qui sert à tirer à soi une porte ou à l'ouvrir.
10. n-m. (Équitation) Petit anneau de cuir qui coule le long des rênes et qui sert à les resserrer.
Le bouton de la bride.
11. n-m. (Métal) Petite portion d'or ou d'argent qui reste après la coupellation.
12. n-m. Petit organe de commande d'un appareil, surtout bouton-poussoir.
13. n-m. (En particulier) (élec) Commande manuelle d'un interrupteur, d'un potentiomètre, etc.
14. n-m. (Informatique) Zones d'interface, icônes numériques d'un écran, d'un site ou d'un programme qui permet d'interagir avec ces derniers.
Sélectionne le bouton « désinstaller » et confirme pour te débarrasser de ce programme.
Appuie sur le bouton « annuler » pour éviter de télécharger n'importe quoi.
clou
1. n-m. nail (metal pin)
2. n-m. clove (of garlic)
3. n-m. (figurative) highlight, climax
4. n-m. (usually in the des clous) not likely, no way, you'll be so lucky
clou
1. n-m. Tige rigide, de fer ou d'autre métal, courte, pointue, et à la tête aplatie, qui sert de cheville pour fixer ou à pendre quelque chose.
Clou à tête, sans tête, à grosse tête, étêté. Clou à crochet.
Le fer de ce cheval ne tient qu'à un clou.
Pointe arrimée par la tête, pour menacer de piquer celui qui désire toucher la surface qui la porte.
Un collier à clous ; un blouson en cuir avec des clous aux épaules.
Il lui est venu un clou.
2. n-m. (Populaire) Gage au mont-de-piété, rebut.
3. n-m. Partie la plus attrayante d'un spectacle, ce à quoi le succès semble attaché.
C'est le clou de la fête
4. n-m. (Militaire) Punition de la salle de police.
Être au clou
5. n-m. Aspérité appliquée à la chaussée, servant de signalisation au trafic routier.
On peut traverser la rue aux clous.
6. n-m. (Marbrerie) Appelées aussi durillons, parties dures qui sont dans le marbre ce que les nœuds sont dans le bois.
7. n-m. (Médecine) (Désuet) Ancien nom des leishmanioses cutanées dont les symptômes étaient de gros boutons (clous) sur la peau.
Le clou de Biskra.
Le clou d'Alep.
8. n-m. (Médecine) (Familier) Furoncle.
boutonner
1. v. to button (to fasten with a button)
boutonner
1. v. Pousser des boutons.
Les rosiers commencent à boutonner.
Son visage boutonne.
2. v. (Transitif) Fixer au moyen d'un ou de plusieurs boutons.
Boutonner son veston, son gilet.
3. v. Cacher un défaut, un sentiment.
4. v. (Transitif) (Escrime) Donner un coup de bouton de fleuret.
Boutonner quelqu'un.
5. v. (Pronominal) Fermer ses vêtements au moyen des boutons.
5. n-m. (Militaire) Dans les fortifications françaises de la Première Guerre mondiale, fortin détaché, isolé, sans aucune communication avec les autres ouvrages de défense du système fortifié dont il fait partie, ni avec l'arrière.
M. Viollette fit ensuite le procès de la dernière découverte de l'état-major : le système des macarons fermés.